Moi et ma copine de baise Lucie faisions tout le temps l’amour chez elle chaque samedi. Lorsque la belle mère de mon sexfriend l’a constaté, elle m’a convoqué en privé et vous n’imaginerez jamais ce qu’elle m’a fait. C’était très douloureux, mais c’est également l’un de mes meilleurs plans baises.
Je m’attendais à ce qu’elle me gronde
La belle mère de mon sexfriend est une femme très conservatrice et très sévère. Milf un peu obèse de 55 ans, dans le quartier, elle est réputée comme étant une dame de fer et gagne le respect de tout le monde. Quand j’ai su qu’elle allait me donner des morales après avoir baisé sa belle fille j’ai un peu flippé. Pour mieux vous expliquer les supplices que j’avais subis, je vais vous raconter nos échanges sous forme de dialogues.
La belle mère : combien de temps toi et Lucie êtes ensembles ?
Moi : nous sommes tout simplement amis madame, je viens souvent ici pour étudier.
La belle mère : est ce que des amis couchent ensemble jeune homme ?
Moi : euh, c’était juste une fois. Elle était effondrée après avoir disputé avec son copain et je lui ai donné du réconfort.
La belle mère : Donc tous les samedis Lucie se chamaille avec son copain et tu viens à la rescousse ? Ne me mens pas, ça fait plusieurs mois que je vous vois en train de vous envoyer en l’air sous mon toit.
Moi : je suis désolé, je ne le référais plus.
La belle mère : Penses tu que tu vas t’en tirer comme ça ? Tu n’es pas encore au bout de tes peines jeunes hommes.
Après ces mots, je pensais qu’elle allait appeler mes parents ou quelque chose de ce genre
Mais, au lieu de ça, elle a ouvert son armoire et a sorti des menottes (des vraies en plus). Au départ, j’avais juste cru que comme elle est une femme de la veille école, elle allait réellement me punir comme dans l’ancien temps, mais j’étais loin d’imaginer ce qui allait réellement m’arriver.
Elle m’a alors mis les menottes et j’étais immobilisé sur la chaise. Et pour que je ne puisse plus bouger, elle a également attaché mes pieds avec des cordes. Après ça, elle s’est préparée à me torturer. Pour commencer, elle m’a d’abord giflé à plusieurs reprises ! Et la grosse salope, elle n’a pas fait semblant, mais a utilisé toutes ses forces. Mais j’ai fait quand même mine de résister. Elle a après enlevé mon tee shirt et m’a mis torse nu. Avec ses ongles, elle m’a griffé depuis la poitrine jusqu’aux abdos.
Et je ne sais pas ce qui m’avait pris, mais ça m’a excité
Voyant mon pantalon bomber, elle m’a dit « qu’est ce que c’est que ça ? ». J’ai alors rigolé un peu et je lui ai dit, « ouvrez ma braguette pour voir ». Elle m’a alors giflé de nouveau ! Par la suite, elle avait enlevé mon pantalon. Et comme j’étais encore super excité, ma queue pendouillait vers le haut. Elle l’a alors prise et l’a serré très fort avec son poignet, puis elle a pincé mes couilles et c’était vraiment très douloureux.
Le moment d’après, elle a relevé sa jupe et a descendu sa grosse culotte et s’est assise sur ma bite. Comme sa chatte n’était pas très lubrifié, c’était d’abord très douloureux et pour elle aussi d’ailleurs. Elle quand elle commençait à se mouiller, elle a gémit de plus en plus fort. Tout d’un coup, elle m’a libéré de mes chaines et m’a obligé à la prendre en levrette. Mais avec le gros cul qu’elle avait j’ai du mal à me repérer. C’est alors que je me suis trompé de trou ! Au bout d’un instant, je m’en suis rendu compte, mais comme elle m’avait fait souffrir, j’ai aussi voulu lui rendre la pareille.
En lui défonçant le cul, elle était devenue plus vulnérable
Et comme je n’ai appliqué aucun lubrifiant, je lui ai déchiré le trou du cul ! Avant de jouir, je suis revenu dans son vagin et j’ai répandu tout mon sperme dedans.
Après cela, on s’est tous les deux rhabillés. Et avant que je parte, elle a encore eu le culot de me dire : « que je ne te vois plus coucher avec ma belle fille ». Dans mes paroles j’ai répondu par l’affirmative, mais vous savez quoi ? Le samedi après même, je me suis rendu chez eux et j’ai baisé Lucie comme je ne l’avais jamais baisé auparavant.